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Pourquoi et pour qui ?
France Conseil a pour vocation d’aider les francophones à s’installer ou à développer des affaires en Espagne, à y réaliser des achats immobiliers dans de bonnes conditions, et généralement leur faciliter toutes les démarches dans l’ensemble de la péninsule ibérique, îles Baléares et Canaries.
Il y a dans l’Union Européenne des disparités fiscales et sociales qui ne s’estomperont que dans plusieurs années, et dont vous pouvez tirer profit légalement puisque l’optimisation fiscale n’est pas considérée comme de l’évasion ni comme de la fraude, dixit le Président français lui-même :
Le Président français parle de l’optimisation fiscale en Europe
Certes ce même Président français parle souvent d’harmonisation fiscale en Europe, mais cela restera un vœu pieux pour les raisons suivantes :
- Une harmonisation de la fiscalité des pays de l’UE ne peut se faire qu’à l’unanimité des 27 membres, selon la constitution
- Les niveaux de vie en Europe varient globalement de 1 à 10, de la Bulgarie au Luxembourg
- Les taux d’impôts sur les sociétés y varient également de 1 à 3, de la Bulgarie ou l’Irlande à la France ou l’Allemagne
- Aujourd’hui, le Brexit et la COVID l’ont montré, la tendance est plus aux recentrages nationaux voire régionaux qu’à une impopulaire uniformisation européenne.
Si quelques soient les lieux où se trouvent vos affaires ou vos biens, vos impôts personnels devront être payés dans votre pays de résidence, vous pouvez encore bénéficier d’avantages importants via l’Espagne.
La France vue d’Espagne
Les espagnols pensent globalement qu’il doit être difficile de travailler en France et que le contexte économique et social n’y évolue pas favorablement pour les entreprises.
En effet les grèves à répétition, la poussée de l’extrême gauche, l’écologie bobo ou radicale, le contre-coup de la gestion de la crise sanitaire et la crise migratoire chronique, sont autant de facteurs qui plombent l’économie et entraineront une hausse des prélèvements fiscaux et sociaux le jour ou le pays ne pourra plus s’endetter à volonté.
Les espagnols qui travaillent 40 heures par semaine jusqu’à 65 ans se demandent comment le « pais Galo » pourra renouer avec une croissance suffisante pour créer la richesse nécessaire à la redistribution sociale à la française dans ces conditions.
Et les entrepreneurs qui nous consultent pressentent qu’ils ne devront compter que sur eux-mêmes pour améliorer une retraite incertaine.
Vu d’ici on ne peut que leur donner raison.